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La fondation soutient la programmation Japon du Festival d’Automne à Paris

du 10 septembre au 31 décembre 2018

Shochiku Grand Kabuki
Iromoyô Chotto Karimame Kasane / Narukami
Chaillot – Théâtre national de la Danse – 13 au 19 septembre
Quatorze ans après, le kabuki, forme épique de l’art théâtral japonais, est de retour au Festival d’automne. avec Iromoyô Chotto Karimame Kasane et Narukami, ce programme mêle deux classiques du répertoire interprétés par Nakamura Shidôii et Nakamura Shichinosuke Ii, légendes vivantes du kabuki contemporain.

Mansaku, Mansai et Yuki Nomura / Hiroshi Sugimoto
Sambasô, danse divine
Théâtre de la Ville – Espace Cardin – 19 au 25 septembre
L’artiste japonais Hiroshi Sugimoto poursuit son exploration des grands genres de la tradition scénique de son pays : le théâtre nô, le bunraku ou, aujourd’hui, le kyôgen, avec deux pièces interprétées par Mansaku nomura et Mansai nomura, dont le talent est mondialement salué.

Kurô Tanino
Deux huis-clos, l’un dans une auberge de sources thermales, l’autre dans un restaurant. deux endroits en désuétude qu’animent des personnages hauts en couleurs. S’ouvrant sagement sous les habits d’un théâtre ultra-réaliste, les dispositifs scéniques de Kurô tanino surprennent, de même que les situations dérapent pour suivre un chemin sensuel et dérangeant, burlesque et sulfureux.
The Dark Master
T2G – Théâtre de Gennevilliers – 20 au 24 septembre
Avidya-L’Auberge de l’obscurité
T2G – Théâtre de Gennevilliers – 25 au 29 septembre

Saburo Teshigawara
The Idiot
Chaillot – Théâtre national de la Danse – 27 septembre au 5 octobre

Signature incontournable de la danse contemporaine, Saburo Teshigawara s’inspire du roman de Dostoïevski pour créer une pièce exclusivement dansée, sans aucune utilisation du texte. Cette mise en corps du mouvement intrinsèque aux phrases affirme le chorégraphe japonais comme le sculpteur unique d’une danse de l’âme, épurée et épique.

Takao Kawaguchi
Théâtre de la Ville – Espace Cardin – 2 au 5 octobre
Le performeur Takao Kawaguchi reproduit la danse de Kazuo Ohno, inventeur du butô, à partir des enregistrements vidéo de ses créations. un fascinant travail sur l’authenticité et la profondeur qui fait surgir de vertigineuses questions.

Shû Matsui
Un fils formidable
T2G – Théâtre de Gennevilliers – 5 au 8 octobre
Un homme décide de créer son propre État indépendant, dans un coin d’appartement - jusqu’au jour où quelques personnes viennent y demander l’asile. Entre drame et comédie, l’auteur et metteur en scène Shû Matsui présente une utopie qui évoque, en creux, la société japonaise contemporaine.

Toshiki Okada
Metteur en scène-phare de la scène japonaise, Toshiki Okada présente deux pièces entrelaçant récits intimes et soubresauts de l’histoire : Five Days in March, créée en 2004, et Pratthana– A Portrait of Possession, sa dernière création, toutes deux emblématiques du travail chorégraphique et théâtral d’Okada et de sa compagnie Chelfitsch.
Five Days in March
Centre Pompidou – 17 au 20 octobre

Pratthana – A Portrait of Possession
Centre Pompidou – 13 au 16 décembre

Takahiro Fujita
Jetons les livres, sortons dans la rue
Maison de la Culture du Japon – 21 au 24 novembre
Takahiro Fujita s’attaque à une figure culte de la scène artistique du Japon des années 1970 : Shûji Terayama. entremêlant une grande variété d’atmosphères, l’enfant prodige de la jeune scène théâtrale japonaise fait revivre de manière radicalement contemporaine la folle énergie d’une époque révolue.

Hideto Iwaï
Wareware no moromoro (nos histoires...)
T2G – Théâtre de Gennevilliers – 22 novembre au 3 décembre
Reclus chez lui à l’adolescence, le japonais Hideto Iwaï a transformé son expérience vécue en matière scénique douce amère. À l’invitation du T2g – Théâtre de Gennevilliers et avec le Festival d’Automne, il crée son premier spectacle en français, inspiré de la vie de participants, professionnels et amateurs, rencontrés à Gennevilliers.

Rétrospective Naomi Kawase
Centre Pompidou - du vendredi 23 novembre au dimanche 6 janvier
Avec près de cinquante films, documentaires et fictions mêlés, Naomi Kawase a imposé sa singularité jusqu’à devenir la plus grande cinéaste japonaise. L’espagnol Isaki Lacuesta a fait du cinéma une aventure perpétuelle, ses multiples créations défiant tout formatage. rétrospectives et installations parallèles.

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